Preikkestolen, une falaise dominante

🎶   a long way from home🎵 :  3200 km

Vendredi 24 mai
Preikestolen c’est un gros rocher monolithe de 604 m de haut qui surplombe les eaux du Lysefjord, face à la ville de Stavanger. On fait l’impasse sur la ville, car on préfère gambader dans la nature. Et on a été servis !
On décide de faire la rando pour le sommet, qui fait 4 km… Pas de souci, on en a vu d’autres. Oui mais… ça monte, ça monte, et ce n’est pratiquement tout le long que de la caillasse, avec des passages de plusieurs centaines de mètres en hautes marches de rocailles, le tout sous un soleil de plomb.
 Mais nous avons traversé des paysages magnifiques, des lacs, des sous-bois, des montagnes, des étangs…
Ce fut épuisant, même pour de jeunes retraités…
… mais on en est finalement venus à bout en 2 heures et demi (la doc dit qu’il faut 2 h aller et autant pour le retour !). Une fois là-haut, c’est la récompense… un paysage éblouissant, et cette plateforme d’une centaine de m² sur laquelle on ose à peine s’approcher du bord.
Le seul hic, c’est le monde… on était partis de bonne heure (si, si !) mais on s’est fait doubler par pas mal de grimpeurs (tu parles, à 30 ans on aurait fait pareil !), et il y avait foule arrivés tout en haut.
On avait prévu le pique-nique et on l’avait bien mérité. Après une heure de répit, il a fallu redescendre, et c’était presque aussi fatigant que la montée. Je suis arrivée les jambes en compote au CC, et une bonne douche nous a fait le plus grand bien.
Et on est repartis avec cap sur Bergen, avec une halte en pleine montagne.

8 Replies to “Preikkestolen, une falaise dominante”

  1. pas de saut à l'élastique prévu du haut de ce fantastique rocher ? quel dommage ! Heureusement, les paysages sont grandioses, ça valait la peine de monter…

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Sans tambours ni trompettes

Blog voyages de deux jeunes retraités, n’offrant ni conseils ni bonnes adresses, juste des cartes postales sympas (comme nous) pour garder le contact avec la famille et les amis que ça intéresse. Et ça servira de pense-bête quand nos neurones joueront à cache-cache.